samedi 10 février 2007

Florence et Benjamin en Toscane, à moins que ça soit Toscane et Benjamin à Florence..Encore que...bref


Bon, de ce voyage magnifique en Toscane et à Florence, la capitale de l'éclectisme architectural ( Monsieur Levert) chez notre cher Benjamin, je ne vous donnerai que l'essentiel. Et par souci de ne pas copier le guide du routard, et parce que je n'ai pas eu l'autorisation de reproduction, je ne vous montrerai pas Le David.....................................................................Mais pour ne pas vous frustrer, car il s'agit tout de même d'une oeuvre majeure, voici, en avant- première, ce à quoi le Routard n'a jamais pensé: les photos des gens qui prennent David en photo. Voilà.









Donc ça, c'était Florence, maintenant je vous montre San Geminiano......................





.......................Et son carnaval.......................



Et, à l'occasion de ce carnaval, un fou rire mémorable, je dirais même un fou rire filé, puisque, le soir même, dans la volonté de tirer une de mes photos dans ces petites bornes en libre service pour l'envoyer à Grand-papa, la machine devint folle, et au lieu de me développer cette jolie petite fenêtre à laquelle pendait un linge délicat, elle me développa:







Blanche-Neige en basket..............................................


Alors faut pas chercher.............Un fou rire ça s'explique pas, allez savoir si c'est plutôt toutes les fraises et les colerettes qui sont drôles, ou le gros noeud qui fait 5 fois la tête de la fillette, ou alors son désinterêt total pour le carnaval tandis que sa grand-mère la promène sur la place du village, et puis ces baskets! enfin!



D'ailleurs, à propos de fou rire, parait que ca rend beau de rigoler, je pense que nous sommes l'exception qui confirme la règle. Observons ce garçon qui, stoïque, est plutôt miam-miam





Comparons- le maintenant à un moment de fou rire sur une obscure blague sur les "Cyprès si loin"





Ne le trouvez- vous subitement laid?? EXTREMEMENT LAID!



Par souci de ne pas perdre un camarade par cette vanne ridicule, l'auteur se sent obligé de restituer la partie cachée du cliché, et de montrer que, lui non plus, quand il a un fou rire, il est pas beau à voir.



Conclusion de ce voyage en Toscane. Ne riez jamais d'une blague sur les "Cyprès si loin".

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