samedi 9 décembre 2006

Bibliothèque Thalassa/Cadeau de noel

Chers tous,

Noël approche et la course aux cadeaux est lancée.

Vous n'avez aucune idée pour votre papa qui voulait s'engager dans la marine, votre secrétaire qui regarde Thalassa tous les vendredi soirs, votre tante qui adore briller en société en parlant aisément sur tous les sujets, ou encore votre petit ami qui rêve de percer tous les mystères de l'humanité et de trouver les trésors enfouis sous les mers......?

Alors ça tombe super bien, puisque pour eux, Julia a eu l'idée incroyable d'écrire un nouveau livre:




De Lapérouse à Durmont Durville, les explorateurs français du Pacifique, Préface de Georges Pernoud, Collection bibliothèque Thalassa, Editions de Conti, 2006.



Accessible à tous, riche en iconographie, et en anecdotes croustillantes (C'est vrai qu'on s'est toujours demandé quel était le plat préféré de Lapérouse), c'est l'objet idéal pour passer un coin d'hiver auprès de la cheminée. (C'est fou comme d'un coup, j'ai l'impression d'être Pierre Bellemare)...On y apprend des trucs invraisemblables sur Louis XVI, sur les raisons des découvertes du Pacifique, sur les scientifiques qui ont le mal de mer.....etc.

Le livre est disponible un peu partout, notamment à la Fnac, mais vous pouvez aussi me le commander par mail et je me ferais un plaisir de vous l'envoyer. Voilà....Ca peut vous dépanner si vous êtes en manque d'idées, ça peut faire super plaisir au destinataire, et puis ça peut aussi donner un p'tit coup d'pouce à une jeune auteur....N'hésitez pas à faire passer l'info...

Dans la même collection et du même auteur:


Marchands d'esclaves, la traite des noirs 1520-1848, Préface d'Aimé Césaire, Collection bibliothèque Thalassa, Editions de Conti, 2006.



Lapérouse, voyage autour du monde, Préface de Georges Pernoud, Collection bibliothèque Thalassa, Editions de Conti, 2005.


En attendant, je vous embrasse tous bien fort, et vous souhaite de joyeuses fêtes!

samedi 7 octobre 2006

Yodeley-yhou

Note de synthèse pour ceux qui ont la flemme de lire les infos en totalité : je vais bien, je marche beaucoup, il neige, ma carte de transport est périmée.


Bien chers tous,
Chers bien tous,
Tous bien chers,

Voici quelques nouvelles de mon exil. Pour ceux que je n’ai pas prévenus dans la précipitation de mon départ, j’avais le choix entre : partir au Rajasthan dans un centre culturel bidon, à Bangkok à l’Alliance Française avec des chars militaires dans le hall, ou bien à Innsbruck, à l’Institut français.



Dans mon envie d’exotisme, mon besoin de nouveauté et ma volonté d’apprendre le Taï, le choix était facile. Me voici donc à Innsbruck et son Tyrol verdoyant. Que vous dire d’Innsbruck si ce n’est que c’est une ville, une ville……. une ville quoi . Je reconnais avoir eu un léger choc à la première visite au sortir du train de nuit. " Voici la place principale d’Innsbruck "………………………………………Bon, ne paniquons pas. On respire. C’est pas parce que la place principale est aussi grande que la place Claude François dans le Bd Exelmans du 16ème arrondissement que cette ville est pourrie.



Ce qui était un peu plus lourd, c’était l’espèce de psychopathe, qui gentiment et sans me connaître, avait accepté de m’héberger la première nuit. Gérart. Gérart était gentil. Il m’avait dit qu’il était dans une collocation de 3 personnes. Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris qu’il était seul, qu’il avait 40 ans et qu’il avait déjà prévu de passer 3 Week- end avec moi. Comment vous décrire Gérart. Le genre de mec qui doit récupérer et collectionner les cheveux des nanas dans la douche. Il m’attendait systématiquement devant la porte de ma chambre et restait sur le seuil voyant que j’allais me changer. Petit, bedonnant, à lunettes, à la fois chauve et roux, Gérart avait tout pour plaire. Il prétextait avoir quelque chose à me dire et montait dans tous les bus avec moi. Après lourde insistance pour que j’habite avec lui, je finis finalement par courir comme une tarée avec mes bagages pour lui échapper.

Actuellement je cours toujours pour trouver une coloc, et ici, c’est pas facile. Hier encore (j’avais 20 ans), en sortant d’une visite dans une des rues de la ville, je comprends vaguement que le proprio me dit en dialecte un truc sur " à droite, à gauche, faut pas aller quelque part ". Bref, je fais semblant de comprendre et je me casse. 20 minutes plus tard, je me dis que c’est quand même louche tous ces arbres et que le bus J doit pas passer par ici, à moins qu’il soit équipé par l’armée et qu’il ait des chenilles. A la 25 ème minute, je tombe sur un panneau. J’étais sur un sentier de randonnée avec mes petites ballerines et mon sac à main. Ah nan vraiment, j’adore, c’est super Innsbruck.



Côté boulot, on bosse 50 h par semaine, on organise des trucs pas mal, je suis chargée de l’élaboration de la fête de la musique, du printemps des poètes, du jury de lecteurs- un club de vieille rombières francophones qui débat sur la littérature contemporaine de mon cul-, et d’un cours de cuisine où je fais Maïté. La semaine prochaine, je dois nettoyer des foies de volailles. Je me réjouis. Merci le Ministère des Affaires étrangères !

Ma directrice est une tarée, et la comptable est une autrichienne aux cheveux blancs, très à la mode, (elle a une mèche rouge, que dis-je une mèche, une touffe sur le devant de la tête à droite), et elle décroche le téléphone en disant : " Institut français Pon-chour (en français dans le texte, bonjour) ". La dirlo insiste pour nous laisser pas mal d’initiatives. La première qui me vient en tête et dont je rêve toutes les nuits, consiste à acheter une teinture bleue à la comptable afin que, par les couleurs du drapeau français, elle représente convenablement la France. Faut que je soumette ça à la boss.

La comptable à ne pas confondre avec la nana qui a les cheveux roux


Voilà à peu de choses près l’ambiance de ma première semaine au Tyrol. Attendez que je me dégote un appart, et je vous invite tous ( pas en même temps) à venir skier sur les glaciers qui commencent dangereusement à s’enneiger, y’ a plus d’saison jvous dis ma bonne dame.
Il me reste à vous souhaiter plein de bonnes choses, notamment à mon frère chéri qui fête ses 23 ans déjà et que je bisoute très fort.

Anachronisme: vue de ma future chambre

Et puis aussi, j’espère que vous vous occupez bien de mon astronaute chéri, mon indien au curry, ma marmotte transalpine, mon bouquetin des neiges qui me manque beaucoup beaucoup et à qui je vous demande de faire plein de bisous.


Je vous embrasse tous et attends de vos nouvelles,

mardi 22 août 2006

Le châton nouveau est arrivé

Chers amis,

Vous les attendiez, ils sont là, les chatons nouveaux sont arrivés, et cette année, comme les années précédentes, ils sont encore plus beaux que l'année précédente.

Ils sont hyper mignons, ils jouent avec vous, ils vous lèchent la joue et vous appellent maman, on a envie de leur faire des poutous, ils sont beaux, sensuels, attachants, mais voyez-vous......ils sont trop..............

Alors, il y a 2 roux, 2 blancs, 1 noir, et je les brade gratos à qui me fait un joli sourire. Si vous les prenez pas, je les file à Laposte et vous serez obligés de les acheter en calendrier à noël. avouez que c'est idiot puisque vous pouvez les avoir en vrai gratos.

Faites passer à tous vos petits neveux et à tous les enfants capables de faire pression sur leurs parents

je vous embrasse tous bien fort

lundi 17 avril 2006

Hommage à tous ceux que j'ai lattés à la chasse aux oeufs


Je tiens à rendre hommage à toutes les personnes qui ont osé m'affronter à la chasse aux oeufs, à tous ceux qui ont eu un jour cet espoir de gagner, à tous ces enfants en bas âge que j'ai du renverser dans les orties parce qu'ils avaient vu l'oeuf dont j'allais m'emparer.


Merci à tous, chers gens de me montrer chaque année que la chasse à l'oeuf, c'est ma voie

mercredi 22 mars 2006

CHOc CARambar!!

Bon les gars, crème de l'humour français, au calembourg chauvin et à la boutade nationale....Réunion au sommet.
On savait tous que les blagues carambars c'était pas ça. Mais là, j'ai bien l'impression qu'on dépasse le stade du "ça". Noémie peut témoigner. Tranquillement à la bibliothèque, je machais avec frénésie mon carambar en rédigeant ma première partie, grand A, petit 1, premier tiret, quand tout à coup, je décide de lire la blague:
"tu préferes faire 8 litres de jus d'orange avec tes aisselles ou bien protéger ton télephone portable avec une peau de saumon gras"?............................
Je reste sans voix...Je ne pense pas qu'une réponse soit attendue..enfin j'espère.... que tout lecteur aura répondu "ni l'un ni l'autre"........M'enfin...Bon..........Angèle, c'est vrai que t'es chelou..
MAIS LA OU JE TIRE LA SONNETTE DALARME......!!!!! C'est quand, ce soir, crevée de cette journée harassante à me concentrer tant bien que mal sur mon grand A, petit1, premier tiret, je lis LA DEUXIEME BLAGUE CARAMBAR, et là, voyez vous, je peux dire à présent, que j'ai connu la peur et la souffrance...:
"Qu'est-ce qui est blanc, rouge au bout et qui sent le pipi."
..............................................................!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Une blague CARAMBAR BORDEL DE MERDE!!! COMMENT J' EXPLIQUE CA AUX ENFANTS MOI!!? Peut-on rire de tout?? et avec qui?? Tu préferes ton papa ou ta maman?
Bon, moi je propose que mardi, on se joigne à la manif du CPE contre les blagues carambar, parce que même si la réponse, c'est "une borne à incendie", faut quand même pas déconner.. J'espère que vous comprendrez le COMBAT d'une MERE, qui lutte pour un monde meilleur!
Je vous dis à mardi,
bisou
sophie, So, Finette, Soso (biffez la mention inutile)

vendredi 24 février 2006

Film Japonais

les mecs, comme vous le savz certainement, le 7 mars, je passe un jury au ministère des affaires étrangères pour partir au Japon.

De ce fait, je me renseigne sur tout ce qui concerne ce beau pays (sushi, geisha, dragon ball Z............)

bref, se tient à la maison du Japon(bir hakeim), un festival de film des sixties aux twenties: à 19H30, 3 euros

mardi 28 fevrier: la légende de Zatoichi, le masseur aveugle (on ne rigole pas!!)
1er mars: voyage meurtrier
2 mars Zatoichi contre yojimbo (rappelons ke zatoichi est aveugle, ya moyen de se marrer)
3 mars Zatoichi (bon c vrai ke en le notant, comme ca , là, jme rends bien compte que vous allez vous foutre de ma gueule)

en tout cas, moi j'y serai certainement le 28 ......je vous ai sélectionnés (félicitations!!) parmi les gens que ca pourrait éventuellement intéresser........alors je vous attends!! (le dernier arrivé...et bah, en a rien à foutre du japon)

dimanche 8 janvier 2006

Voeux

Chers amis,

Van den Bosch, dans Aphorismes du temps présent, disait:" Une année qui finit, c'est une pierre jetée au fond de la citerne des âges et qui tombe avec des résonances d'adieu".[......................................................................................................................]Tagada Tsoin Tsoin.

Bon, il est important aussi de recontextualiser la chose. Il est vrai, soyons honnête, que Van Den Bosch s'est fait bouffer sa femme par les loups et son fils par des japonais mangeurs de fils. Mais que diable vient- il troubler notre nouvelle année avec ses problèmes personnels?!

Quittons là ce pauvre larron pour nous tourner vers le roi du théâtre, de l'humour, et de la finesse. En effet, Sacha Guitry, dans son oeuvre majeure, je veux bien sûr parler des questions marron du Trivial Pursuit, disait: " Je connaissais une jeune femme très vertueuse. Elle a eu le malheur d'épouser un cocu: depuis, elle couche avec tout le monde"................Ce qui n'a absolument aucun rapport avec notre affaire de bonne année, mais a le mérite de nous faire oublier ce salaud d'égoîste de Van den Bosch qui nous emmerde avec sa femme.

Tout cela pour vous souhaiter une magnifique nouvelle année, pleine de projets et de rêves à réaliser, d'amour et d'eau fraîche (je préconise la Quézac, parce qu'elle s'appelorio Quézac). J'espère pouvoir chacun vous avoir de vive voix ou par mail interposé pour fixer une date pour un café ou un diabolo menthe( car, je n'ai rien contre le diabolo menthe). Profitons de ce début de nouvelle année pour nous donner plein de Rendez-vous.

J'attends vos nombreuses propositions! En attendant, Van den Bosch, Sacha et moi, vous embrassons fort........

Sophie